À propos de Casemate - coliving

L’histoire commence comme toutes les bonnes soirées : avec trois potes, un peu trop de vin nature, et une colère sourde contre les colivings tièdes.

 

Namur, dans le passé. Trois anciens colocataires — appelons-les Vincent, Nico et Gilloux — viennent de finir une énième expérience de vie partagée dans un coliving estampillé “urbain, design, community”… mais qui avait surtout l’âme d’un PowerPoint RH et le charme d’un open space un lundi matin. Salle commune froide comme une salle d’attente, Wi-Fi qui rame comme un bateau ivre, et “événements communautaires” qui ressemblaient plus à une réunion de copropriété qu’à une fiesta berlinoise. Bref : l’ennui. Le bullshit. Le foutage de gueule décoré chez Ikea.

 

Alors ils décident de faire un truc rare dans ce monde d’algorithmes et de rendements locatifs : ils créent un coliving qu’ils auraient vraiment voulu habiter. Un lieu vivant, chaleureux, connecté au cœur battant de la ville — et pas planqué en périphérie entre un Quick et un parking.

 

Ils trouvent une vieille bâtisse planquée en plein piétonnier de Namur, à deux pas des meilleurs cafés, des bars qui ferment trop tard, et des bouquinistes qui sentent bon le vieux papier. Ils la retapent avec amour, pas avec Excel. Des matériaux qui ont une histoire, une déco qui a du chien, et surtout une vraie âme.

 

Leur mantra ? Tout doit être vraiment inclus : du Wi-Fi qui claque à la Netflix party du dimanche soir, en passant par les réductions chez les commerçants du quartier (parce que vivre ici, c’est aussi faire partie de la bande). Pas de frais cachés, pas de règles absurdes, juste une envie simple : offrir un lieu où il fait bon vivre, glander, bosser, refaire le monde ou simplement mater un docu sur les pieuvres.

 

Ils ont appelé ça Casemate. Parce que c’est un peu comme une cabane perchée dans le cœur de Namur, sauf que t’as pas besoin de grimper aux arbres.